Le redémarrage de Sony n’a pas réussi à répondre aux attentes, même prudentes, du studio, faisant ses débuts à une franchise éviscérée de 8 dollars. 6 millions en Amérique du Nord. Étant donné que le film n’a pas réussi à rattraper beaucoup de succès à l’étranger, son lancement a coûté 19 dollars. 2 abondamment, dont 7 décevants. 7 millions en Chine, il semble probable que les anges viennent d’achever leur dernière mission. One mieux pour Sony: ses co-financiers Perfect World Pictures et deux co-financiers minimiseront ses pertes financières potentielles. 0 Entertainment, qui a généré la moitié des 48 millions de dollars de trésorerie du film.
"Charlie’s Angels" est cependant le dernier rappel douloureux selon lequel la reconnaissance de la marque n’est pas toujours une certitude. "Charlie’s Angels" est la troisième tentative d’Hollywood au cours des trois dernières semaines - après "Terminator: Dark Fate" et "Doctor Sleep" - de plonger dans le puits sans trop bien vouloir le montrer à la conscience. Les analystes de la billetterie voient «Charlie’s Angels», comme d’autres grands noms ratés cette année, tels que les champions «Men in Black: International» et «Shaft», un autre indice que les propriétés familières ne devraient pas être réinitialisées simplement parce qu’elles fonctionnaient il ya plusieurs décennies.
«Je ne pense pas que [le week-end d’ouverture de Charlie’s Angels] soit un mandat contre la propriété intellectuelle non originale, et ce n’est pas faute d’essayer», déclare Paul Dergarabedian, analyste média de Comscore. «Je n’ai jamais vu Kristen Stewart aussi sur le circuit de la presse. La thématique est la suivante: quelqu'un a-t-il réclamé ce redémarrage? ”
C’est quelque chose qui devrait préoccuper chaque responsable de studio lorsqu’il s’agit de revisiter des séries bien connues. Malgré des critiques honnêtes, «Charlie’s Angels» n’a généralement pas réussi à attirer son public cible, à savoir les jeunes femmes. "Frozen 2" de Disney captivera la majeure partie de ce public le week-end prochain, laissant peu de place à la conscience de la pièce, "Charlie’s Angels" de prendre son envol.
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